Description
L'accordéon diatonique est un accordéon qui peut se décrire
comme un harmonica á la main droite, avec un 2ème harmonica
d'accords préconstitués á la main gauche. Chaque bouton main
droite ou gauche fait un son différent en tirant ou en poussant,
étant entendu que l'on pousse ou que l'on tire en même temps sur
les deux claviers, l'astuce colossale de la répartition des
touches faisant que l'on a toujours un accord pas trop faux.
pour des explications detaillées interactives, visitez le site
sons et couleurs
Histoire
Naissance de l'accordéon
C'est "l'harmonica à bouche" qui déclenche l'invention de
l'accordéon: En 1821 Friedrich Buschmann en autriche invente un
instrument à anches métalliques : l'aura. Des fabriquants
d'harmonica surgissent alors de partout, se copiant, améliorant,
inventant tout une multitude d'instruments dérivés.
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harmonica de 1827
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En 1825,en Angleterre, apparait le symphonium qui comporte
quelques boutons et un trou pour souffler : c'est l'ancetre du
concertina. en 1822, Buschmann monte un soufflet sur son "aura"
qui devient "l'éoline à main".et enfin, Demian en 1825 invente
l'anche double (un son en tirant et un son en poussant).
concertina 1835
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En 1833, wheastone ajoute un soufflet
au symphonium à bouche qui devient donc le concertina.
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et, en 1829, Cyrill Demian , fabriquant
de piano et orgues à Vienne dépose son brevet : il
s'agit d'un instrument conçu pour l'accompagnement,
n'oublions pas qu'à cette époque sans télévision, on
passait de longs moments dans les soirées à réciter des
poèmes, monologues, ... et a chanter : l'instrument de
Demian ne produisait que 5 accords préétablis.
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accordion autrichien de Demian - 1829
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accordéon français de reisner - 1840
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En France, on transforma l'idée de
sorte que l'accordéon se mit a produire non plus des
accords mais des notes : le clavier dit "français" était
mélodique, alors que le clavier autrichien était "à
accord". Un autre inventeur, Pichenot, ajouta au clavier
français une touche donnant l'accord de tonique et de
dominante(en tirant ou en poussant) ainsi qu'une soupape
pour faire le vide du soufflet.
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Demian alors inventa, vers 1834, la combinaison des deux
claviers : le deuxième clavier, pour les accords et le premier
pour la mélodie.
D'après le livre de Pierre Monichon : l'accordéon, un
incontournable sur le sujet, abondamment documenté, et
expliquant de manière tres claire l'évolution technique et
musicale des claviers.
galerie de l'accordéon
diatonique
accordéon 1850
harmoniette - 1850
harmoniflute -1855
autriche - 1880
mélodéon - 1890
accordéon italien 1905
mélodéon à cornet
caricature de Daumier
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on n'a pas encore le droit de tuer les
gens qui jouent de cet instrument, mais il faut espérer
que cela viendra.
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Accordéons :
l'aventure corrézienne
Olivier Durif - revue Modal
N°3 - juin 1986
L'histoire a fait de la Corrèze le principal centre de
fabrication de l'accordéon en France. Cette histoire mal connue
s'est déplacée de Brive à Tulle au terme de multiples
péripéties, d'aventures humaines et musicales, de réussites
industrielles et commerciales. Cette activité, qui a touché
pendant quatre-vingts ans des centaines de personnes à travers
toute la Corrèze, est encore vécue intensément par beaucoup de
gens comme un monde riche et coloré, prolongée aujourd'hui par
le renouveau de la firme Maugein. Voici quelques éléments,
présentés par olivier Durif, de cette histoire où la réalité et
la légende se mêlent étroitement pour constituer une épopée
quasi mythique.
La legende commence à Brive par un dimanche de 1885. François
Dedenis, jeune menuisier originaire de la montagne limousine
part à la pêche avec un camarade qui emporte avec lui un
accordéon. C'est probablement ce jour-là que François découvre
en même temps que la pêche à la ligne, activité « branchée » de
cette fin de siécle, le dernier gadget de la musique populaire
de l'époque : l'accordéon.
La légende, toujours elle, veut que François Dedenis, emballé
par la sonorité de l'instrument, ait économisé jour après jour
pour se payer un accordéon de quatre sous et de cinq touches. On
peut penser que les accordéons allemands qui fournissent
l'essentiel de la production de l'époque sont d'une solidité à
la mesure de la modicité de leur prix : l'instrument se dérégle:
François le démonte et le répare.
A partir de ce jour l'histoire prend le pas sur la légende.
L'aventure s'installe au coin de la rue Raynal et de la rue
Dubois à Brive où François a son atelier de menuiserie. Devant
le succès de cette première réparation, il perfectionne son
instrument puis vraisemblablement en construit un avec des
moyens de fortune. Il en fabriquera régulièrement désormais tout
en continuant son métier de menuisier. Les catalogues édités par
Dedenis font remonter son installation comme fabricant
d'accordéon à 1887. Mme Vauxel dans son intéressante étude sur
l'entreprise Dedenis signale que c'est seulement à partir de
1901 que la mention « fabricant d'accordéons » apparaît sur les
listes de recensement, remplaçant celle de «menuisier».
Chronologiquement, ce changement de statut intervient sans qu'on
puisse établir aujourd'hui une relation de cause à effet, après
le succès signalé par le journal briviste « Le Petit Gaillard »,
de François Dedenis à l'Exposition Universelle de 1900 où il
obtient « un diplôme d'honneur avec croix du Mérite pour
l'excellence de ses accordéons exposés au Palais du travail ».
En tout cas cette période est sensiblement concordante avec
l'essor de l'accordéon en limousin.
Les concours d'instruments populaires mentionnent sa présence
dans un concours à Pompadour le 18 septembre 1896 pour «
musette, violons, accordéons, flageolet et flûte... » et le 11
septembre 1898 au Bourg de Varetz : « un concours d'accordéons
et de violons » .
Son essor prétend être freiné par la piètre opinion dans
laquelle les notables locaux tiennent l'instrument. Comme les
Auvergnats le font à la même époque dans les journaux auvergnats
à Paris à propos du bal musette, Johannés Plantadis, sous le
pseudonyme de Jean Dutrech, dans un numéro de la revue
régionaliste « Lemouzi » de 1895, déplore son irruption en
Limousin où il « a chassé en partie les bons instruments anciens
... l'accordéon, l'affreux accordéon qui n'a rien de Limousin ni
de bien agréable et qui détonne dans le milieu où il enfle ses
sons insipides et les désenfle... »
Lors du premier et important concours d'instruments anciens de
Juillac en 1902, l'organisateur, le Dr Gaume, justifie son
initiative en regrettant « que deux instruments du pays, la
musette et le fifre disparaisse pour être remplacés par
l'affreux accordéon... il a résolu de les faire revivre » .
Mais, dès 1905, la mode est la plus forte et le bon docteur est
contraint d'introduire l'accordéon dans son concours . on peut
donc penser qu'à partir de 1905 François Dedenis est bien
installé dans sa situation de fabricant d'accordéons. Lors de la
fête patronale de Brive du 26 août 1906, un concours
d'accordéons, de vielle, de chabrette est organisé; la «Maison
Dedenis» offre un instrument au vainqueur du concours
d'accordéons. Le vainqueur est un certain... Maugein de Tulle !
Là mode de l'accordéon (diatonique pour l'essentiel) va
grandissante et la concurrence est sans doute rude pour Dedenis
même à Brive : le Radical de la Corréze publie un encart
publicitaire où «J. Contenson, 4 rue de la République à Brive la
Gaillarde » propose des «Accordéons Français, Italiens,
Autrichiens... de concert, bal et salon, accordéons Stradella 3
jeux, 12 basses, 21 touches. les plus sonores et les meilleurs
du monde ... ». Qu'importe, le succès des "boites à sucre"
Dedenis, comme on les appelle familièrement, ne se dément pas.
Dès 1907, François Dedenis s'installe place Thiers et en 1913 il
inaugure en présence du député de Brive, M. Lachaud, une
nouvelle usine, signe d'une réussite qui dépasse sans doute déja
les frontières du Limousin. On croit savoir qu'à cette époque
Dedenis réalise entièrement ses accordéons. La plupart des
membres de la famille de François Dedenis, qui n'a pas d'enfants
(et n'en aura pas), travaillent dans l'usine. François Dedenis
est présenté comme un homme de petite taille, énergique, patron
philanthrope, avec un coeur d'or, trop bon, semble-t-il parfois
avec ses ouvriers.
L'usine ferme ses portes pendant la guerre de 14-18 et ne rouvre
qu'à l'armistice. Dans les difficultés d'approvisionnement de
l'après-guerre, mais dans la joie de la fin de la tourmente, les
bals reprennent: l'accordéon s'est imposé comme l'instrument
roi. La maison Dedenis entame la décennie de son apogée. Elle
embauche dès 1919. Parmi les ouvriers figure Jean Maugein,
descendu de Tulle où il est accordeur de piano. L'homme, de fort
caractère et d'une intelligence vive, comprend très vite la
technique du montage des accordéons. Trop vite semble-t-il au
gré de la Maison Dedenis. On lui l'ait comprendre que sa place
est ailleurs. Il rentre à Tulle et se met à réparer les
accordéons puis, sans doute, à en vendre. Rapidement il
s'installe dans un petit atelier de la rue du Grillon et
commence à fabriquer; ses deux frères Antoine et Robert le
rejoignent ainsi qu'un premier ouvrier, M. Chareille.
Pendant ce temps Dedenis produit, selon ses dires, plus de 5.000
accordéons par an, diatoniques dans leur grande majorité. Il
semble bien qu'il appose son nom sur des accordéons
d'importation qui lui permettent d'élargir sa gamme. Les lames
semblent également, selon les dire de M. Poumara (voir article
«j'étais accordeur Chez Maugein-Frères»), être de fabrication
allemande. La fabrication en grande série qui fait de
l'accordéon une industrie de montage et de fïnition et les coûts
moindres de la concurrence conduisent à cette évolution où
l'économie prend le pas sur l'artisanat. Outre les catalogues,
la publicité chez Dedenis est assurée par un orchestre
d'ouvriers et ouvrières de l'usine qui se produisent en harmonie
sous la direction d'un accordeur de la maison, premier prix de
conservatoire, M. Suhit. Leurs succès dans différentes villes de
France, en Belgique, en Italie, en Suisse, attestés dans les
catalogues et dans le journal du «Tout Brive», assurent ainsi la
promotion de la marque.
ensemble d'accordéon des usines dedenis
L'idée sera reprise plus tard par Maugein qui montera «Tulle
Accordéons» toujours sous la direction de M. Suhit. Les
catalogues dithyrambiques sont conformes au genre de l'époque
conseillant les joueurs sur tel modèle de préférence à tel
autre. Le musicien de routine y est constamment mis en garde
contre l'achat d'un instrument qui serait inadapté à sa
technique et à ses moyens, présumés restreints.
Les musiciens de routine sont cependant la grosse clientèle de
chez Dedenis qui vend ses petits diatoniques aux quatre coins de
France. Pendant ce temps-là, les Maugein installent un nouvel
atelier rue du Docteur Faugeyron, à Tulle, dès 1923 ; peu après
ils bâtiront une usine non loin de là, cité Cazeau. En 1928,
l'usine Maugein compte vingt et un ouvriers cependant que chez
Dedenis prés d'une centaine d'ouvriers sont employés. La
concurrence étrangère, allemande et italienne, est très forte à
l'époque. Dans un article de la «Revue Limousine » de 1926,
François Dedenis demande, déjà à cette époque, qu'on rehausse
les droits de douane et qu'on délivre des factures et
certificats d'origine aux instruments étrangers.
En 1927 François Dedenis, à l'occasion du Centenaire de
l'Accordéon, est décoré de la Légion d'Honneur par Henri de
Jouvenel, puis fait chevalier en 1930. Pourtant il semble bien
que l'entreprise Dedenis, si elle a marqué de son sceau les
années 20, avec la production de diatoniques, n'a pas préparé
l'avenir avec assez d'intuition. Maugein de son côté a misé sur
le chromatique et ne fait du diatonique qu'en appoint.
D'ailleurs certains pensent que bon nombre de diatoniques
Maugein sont faits chez Dedenis, la «musique » étant montée et
la raison sociale apposée chez Maugein.
De son côté, Dedenis importe pour ses chromatiques des caisses
et des « musiques» italiennes qu'il monte et finit à Brive.
Le 7 février 1933, François Dedenis meurt laissant à sa femme la
responsabilité d'une entreprise florissante mais semble-t-il peu
préparée à l'avenir. La continuité est assurée par un chef
d'atelier de la maison, M. Belony, qui continuera à
commercialiser de petites séries qui n'étaient pas encore
finies, à réparer puis à vendre des accordéons à Brive jusqu'à
sa mort un peu avant les années 60.
Mais on peut dire que l'orée de la Seconde Guerre mondiale
marque la fin de l'ère Dedenis. Pendant ce temps les trois
frères Maugein poursuivent leur route. Dés 1937, ils font
construire une nouvelle usine rue d'Arsonval à Tulle. En 1938
ils fabriquent entièrement leurs instruments ayant acquis et
fait construire les machines pour fabriquer leur « muique »,
seuls les boutons et quelques jeux d'anches spéciaux sont
achetés à l'extérieur. Plus d'une centaine d'ouvriers y
travaillent désormais. La demande est forte à ce moment-là,
l'accordéon chromatique est l'instrument populaire par
excellence. la firme Maugein, solidement dirigée par les trois
frères, bénéficie de la collaboration de très bons ouvriers.
L'ambiance, excellente, favorise la qualité. Les ouvriers ont à
coeur de produire le meilleur travail. D'ailleurs les
différentes interventions ou pièces de l'accordéon (clavier,
menuiserie, accord) sont signées du nom de l'ouvrier. En 1939
prés de trois cents ouvriers travaillent chez Maugein.
La concurrence est surtout italienne à cette époque. La firme
italienne Cooperativa Armoniche prend en 1936 un concessionnaire
en Corrèze même : M. Calmel à Beaulieu. Celui-ci vend les
instruments avec sa propre raison sociale « Calmel à Beaulieu ».
Il embauche quelques ouvriers pour la finition puis, vers 1938,
il se met, semble-t-il, à fabriquer lui-même les accordéons,
répliques parfaites des modèles « Coopé ». Sa mort, en 1939,
interrompt une concurrence qui, sur le plan de la qualité,
s'annonçait redoutable pour Maugein.
la fabrication des soufflets chez Maugein en 1939
La guerre survient et Maugein débauche son personnel
réquisitionné. Puis, après 40, la fabrication redémarre et on
réembauche une centaine d'ouvriers. Les difficultés
d'approvisionnement, notamment en pièces métalliques, sont
palliées par des erzatz où l'aluminium remplace le laiton et
l'acier.
Pendant les combats de la Libération, Tulle est durement touchée
par les représailles allemandes et la firme Maugein paie son
tribut en hommes de valeur, blessés, déportés, voire excécutés .
Les archives de la maison Maugein sont éparpillées.
Mais la Libération est là et l'accordéon est de toutes les fêtes
: le monde veut oublier! La production redémarre très vite et
très fort, Maugein en bénéficie. la musique inexorablement
change: l'Amérique et le jazz sont là ! Gus Viseur vient chez
Maugein faire fabriquer le premier accordéon avec un accord
baptisé «Viseur» qui deviendra l'accord «swing». Les caisses des
accordéons se sont arrondies, les goûts changent. En Corrèze, le
chromatique a définitivement supplanté le diatonique. les bals
florissants voient naître des orchestres où l'accordéoniste est
accompagné d'autres instruments. La période est excellente pour
la firme Maugein. En 1946, quatre chefs d'équipes chez Maugein :
MM. Lacroix, Simon, Chareiile et Beaussoutrot décident de monter
leur propre entreprise, les accordéons « Union ». Ils
s'installent dans un atelier à quelques centaines de mètres de
chez Maugein. Leur réussite est relative après un premier succès
de curiosité. Leur travail quasi-artisanal dans une fabrication
où la standardisation et la rationalisation sont importantes à
l'époque ne leur permettent pas de lutter contre leur concurrent
et voisin Maugein. L'entreprise fermera boutique au milieu des
années soixante sans avoir réellement percé. Dans les années
cinquante à soixante la production est importante chez Maugein
et le marché alimenté par une demande de plus en plus régionale.
Mais l'accordéon entre dans une période de déclin. La guitare et
le rock'n'roll s'annoncent. Les fréres Maugein, et l'entreprise
avec eux, commencent à vieillir, les salaires baissent, la
qualité et l'ambiance s'en ressentent. L'accordéon est encore
perçu comme un instrument populaire mais son aventure est
derrière lui. En Limousin notamment, le phénomène qui popularise
Ségurel, alors en pleine gloire, masque pour de nombreuses
années au niveau de la fabrication le passage de l'accordéon du
stade d'instrument à part entière au statut d'instrument de la
nostalgie. Les musiciens s'en détournent progressivement. Le
monde du show-biz l'ignore royalement.
La firme Maugein, sans réellement baisser en qualité, subit
cette crise qui l'anesthésie progressivement. Les frères Maugein
se retirent et Jean meurt le premier en 64, Robert part en
retraite en 1965 et meurt en 1972, Antoine en 1977 et son fils
Georges qui travaillait également à l'usine en 1978. Dés 1965,
un directeur est nommé mais il ne réside pas à Tulle et vient
trop sporadiquement de Bordeaux où il réside. dans les années
70, Maugein est complètement absent du regain d'intérêt pour le
diatonique que la maison perçoit comme dépassé.
En 1981, la famille fait appel à M. René Lachaize, parent de la
famille pour diriger l'entreprise en diffîculté. La municipalité
décide d'aider la firme qui appartient au patrimoine tulliste.
Elle décide la construction d'une nouvelle usine qu'elle loue à
la firme Maugein en location-vente. En 1984, la nouvelle usine
est inaugurée: une nouvelle aventure commence...
le luthinier
Les fabricants
les luthiers anciens
les luthiers anciens sont :
françois de denis en corrèze á brive vers 1910
françois de denis
maugein à tulle
cavagnolo a lyon
paolo soprani en italie - 1912
les luthiers
modernesles fabriquants modernes sont :
hohner en allemagne
maugein á tulle
atelier du mourier a coaraze ( nice)
eric martin à plélan le grand (maxent)
imagineire à saint félicien
fratelli corsio en italie
piermaria en italie
saltarelle
bernard loffet
Castagnari en
italie
la famille de
l'accordéon diatonique
la famille des accordéons diatoniques se compose de
bandonéon
harmonéon
concertina
mélodéon
chromatique(touche ou bouton)
méthodes et recueils
d'accordéon diatonique
tenue correcte de l'accordéon
différents auteurs ont écrits :
Pierre Monichon
l'accordéon
Roger Wadier
accordéons
fermo galbiati et nino ciravegna
le fisarmoniche
François rené Tranchefort
les instruments de musique dans le monde
Gabriel Yacoub
les instruments de musique populaire
revue modal : N°3 - spécial accordéon
revue anches libres
Olivier Durif
musiques des monts d'Auvergne et du Limousin
un panorama superbe et documenté
quelques disques contiennent des notices :
Jean Bergheaud
musique d'auvergne
François Vidalenc
musique d'auvergne
jean loup baly et jean blanchard
special instrumental : l'accordéon diatonique
l'accordéon en Auvergne - enregistrements historiques
et enfin il existe des méthodes :
yan dour
jean michel corgeron
frédéric paris
lasbleiz
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